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Citation :

Dé 1 : Trèfle lance un sort d’expéliarmus sur le Parque. Réussite ou non ?
Oui : la baguette s’envole de ses mains et atterrit directement dans la sienne, alors que le sorcier s’écrase contre le mur.
Non : Il lance un protego juste à temps.

Dé 2 : Dans le cas d’une victoire, ils croisent d’autres personnes. Qui ?
Oui : Jude et Amber
Non : Sinead et Elésianne

Dans le cas d’une défaite, le Parque lance un endoloris sur Trèfle. Trèfle lance un protego. Réussite ou non ?

Dé 3 : D’autres personnes viennent se mêler.
Oui : mais c’est l’autre parque
Non : Quelqu’un du groupe, qui voudra poster après

La main de Remus serrait la sienne comme si sa vie en dépendait, courrant après la folle qui riait sombrement en zigzaguant, ne rendant plus le doute possible quant à sa présence à l’asile. Lorsque les doigts fiévreux de rage s’échappèrent de sa main pour préférer le cou de cette femme, Trèfle ne fit rien pour l’en empêcher. A vrai dire, elle était fascinée par cette force et cette colère qui émanait du maraudeur. Et puis, soudainement, tout devient clair. La jeune femme eut du mal à s’habituer à cette source soudaine de lumière, éblouie par les murs blanchâtres du couloir de l’asile. Mais ce lieu était étrange, comme un grand et large corridor qui semblait infini. Ce n’était pas comme tout à l’heure. Quel sortilège … et puis il y eut cette voix. « Jedusor ! » souffla Trèfle en cherchant la source de cette voix sans la trouver. Elle semblait pourtant si proche.

Que disait-il ? Ne plus pouvoir sortir, ni transplaner. Survivre aux patients. Il avait lâché ces fous sur eux. Le regard de la blonde s’écarquilla un peu plus devant l’horreur de la situation. Et puis, un bruit sourd. Surprise, Trèfle se retourna pour voir Remus assis à même le sol et la folle s’enfuyant en agitant les bras en l’air telle une démente. Le sourire contrit qui lui lança apaisa légèrement sa crainte, un apaisement hélas de courte durée. Remus cherchait sa baguette d’un coté, Trèfle surveillait ses arrières, cependant, il était déjà trop tard lorsque le loup la retrouva entre les mains du Parque. « Expéliarmus » lança rapidement la tireuse d’élite. Il aurait pu ne pas pouvoir contrer le sortilège car elle avait agi rapidement. Mais il lui manquait sûrement un centième de seconde car le protego du parque dévia son sort. Une autre voix. Féminine, qui criait. Un plan ? Non, elle n'en avait pas, mais il y avait danger. Alors elle se mit à crier à son tour. « Les Parques ! » Alors qu'elle criait pour espérer une aide supplémentaire, elle n'entendit pas le sortilège que lui lança le tortionnaire.

La dernière Greengrass ne put rien faire. Tout allait trop vite. Ils étaient fous, forts, puissants, trop pour elle sûrement car l’endoloris la toucha de plein fouet. Elle ne put empêcher ses lèvres de s’ouvrir, pas plus qu’elle ne put retenir son cri, son hurlement de douleur qui lui sembla résonner dans tout le couloir. Douleur insoutenable. Jamais elle n’aurait pu l’imaginer. Elle s’effondre par terre et convulse, cherchant à fuir ces millions d’aiguilles chauffées à blancs qui s’enfoncent dans sa peau. Ses yeux restent fermés, hermétiquement, comme si cela pouvait atténuer sa souffrance. Elle ne vit pas cette nouvelle silhouette approcher, pas de bonne augure hélas car il s’agissait de l’autre parque.

Marauders' Calling

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Attaque à St Mangouste

« Event»

Amber était tout juste entourée de la lumière créé par son sort. Un peu plus loin se trouvait une silhouette qu’elle réussit à distinguer comme un homme. Mais avant qu’elle n’ait pu faire un pas pour s’approcher de cette personne et apercevoir son identité que toutes les lumières se rallumèrent soudainement. Étonnée dans un premier temps, Amber fut d’abord légèrement éblouit par la lumière après le temps dans l’obscurité. Puis lorsque ses yeux se furent réhabitués à l’éclairage, elle les ouvrit, éteignant alors sa baguette. Et son regard tomba sur la personne qui lui faisait face. Jude Citrus. Un homme qui avait été élève à Poudlard en même temps qu’elle. Amber ne le connaissait pas réellement intimement, la raison principale étant qu’il n’était absolument pas pur. Il était aussi sortit avec Trèfle pendant leur étude, ce qui l’avait fait détester encore plus le jeune homme car aux yeux de la Nott, tout mélange sanguin est comme une trahison à sa société. Cependant, avant qu’un mot ne soit prononcé, une voix se fit entendre. Le Lord venait apparaître pour un discourt…pas forcément très joyeux. Super, ils allaient se retrouver avec une bande de patients à moitié psychopathes. Puis, Tom Jedusor disparut, laissant les gens sur place, les uns voulant attaquer alors que les autres étaient là pou défendre.

Mais là, juste en ce moment, elle pointait sa baguette vers Jude, tout comme lui pointait sa baguette vers elle. Ils ne se quittaient pas du regard et son adversaire fut le premier à réagir. Tous deux étaient bien conscients qu’ils ne faisaient pas parti de la même équipe. Si cela avait été le cas, ils le seraient. Mais elle ne savait pas dans quel camp il était, et dans ce cas-là, il valait mieux le considérer comme un ennemi. Malheureusement les lumières étaient revenues et son visage était de nouveau à découvert. Elle ne pouvait donc rien faire de trop marqué qui la ferait tout de suite repéré. Alors un sens, cela était mieux qu’il soit le premier à attaquer, elle ne ferait que se défendre et contre attaquer. Il lui lança un « Experlliarmus » qu’elle réussit à contrer avec un « protégo » rapide, évitant ainsi de se retrouver sans défenses. Et devant ce geste, Amber n’hésita pas à agir.

«Imbécile...Os Frangendum»

Le lançant sans aucun regret, sans aucune gène, elle voyait que le sort partait dans sa direction. Cependant, elle ne sut pas si son attaque atteint l’homme qui se tenait en face d’elle. Car il venait d’arriver des patients. Des patients fous. Ils ne se trouvaient pas dans cette section de l’hôpital pour rien et lorsqu’ils étaient arrivés, Amber s’était immédiatement tournée vers eux. Ils étaient présents uniquement pour les personnes qui se trouvaient ici. Ils n’avaient pas de conscience. Ils attaqueraient tous et tout le monde. À présent, il ne fallait vraiment pas de pitié. Si seulement elle pouvait s’écarter du groupe pour se masquer.  Mais maintenant, elle ne pouvait pas. Être sur ses gardes et sans scrupule serait le meilleur moyen de survivre.

© Chieuze

J’ai mis du temps, beaucoup de temps à la reconnaitre. Mais j’avais bel et bien Sinéad, une talentueuse joueuse de quidditch en face de moi. Comment avais-je pu l’oublier alors qu’elle m’aidait beaucoup ? Je ne comprenais pas. Elle me demandait comment j’allais. Pour tout dire…pas trop mal.

« Bien, pour le moment. »

Oui, il ne fallait pas trop s’avancer non plus, je ne pouvais être certaine de ce qui se passerait par la suite.

Jedusor fit son petit discours, je l’écoutais, terriblement attentive à la moindre faille possible. Il fallait qu’on se sorte de là. Je regardais autour de moi. Nous étions nombreux. Même accompagnés d’un gros poussin bien jaune, bien voyant. Ma voisine tenta de dominer le bruit en demandant quoi faire. Je me mis à stimuler mon cerveau pour trouver une idée. Personne ne répondait.

« Peut-être s’approcher du mur pour essayer de le détruire ? »

Je la regardais, tentant de trouver d’autres idées.

« Sinon on regroupe un maximum de personnes en qui on a confiance pour être plus fort. »

Deux idées différentes. L’une active, l’autre passive et surtout dans des directions bien différentes. Il était temps de choisir. Je préférais l’action personnellement. Mais à plusieurs, on serait forcément plus fort.

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Dès:

ça m'énerve ...

Remus ne savait pas quoi faire. Il était complètement paniqué et les cries de Trèfle n'arrangeaient rien. Pour pouvoir aider la jeune femme, il devait faire quelques choses alors Remus se lève et cours vers le parc qui avait sa baguette évitant, le sors, qu'on lui laissait et se mit à battre comme un molduls. Le jeune homme était moins fort que la parque qui prit vite l'avantage. Remus du faire un truc pas très catholique et il donna un coup de pied entre les jambes de la parque qui lâcha sa baguette. Remus la ramassa et se dirigea vers la femme lui lança un sors pour la pétrifier, mais la jeune femme tourna au même moment sa baguette et leur deuxsortent s'entrechoque. Les crie de Trèfle était fini ce qui calma un peu l'anxiété du loup-garou qui se mit entre le corps de Trèfle et celui de la parque.

© SleepingCookie

Dés:

Vieille connaissance

« - Lily ? »

La faible lueur de son lumos éclaire les visages émaciés du prisonnier. Elle tient toujours d'une main la petite fille qu'elle ne connaît. L'enfant se colle à elle, terrifiée. Est-ce bien elle ? Est-ce vraiment elle ? La jeune femme avance avec hésitation. Elle avait toujours enviait sa chevelure, dorée comme le blé. Elle en était si fière. Maintenant ce n'est plus qu'une poignée de paille qui ne fait que mettre en valeur les traits squelettique de son visage ?

« - Isobel ? »

Ce n'est qu'un couinement. Elle a dû mal à y croire. Est-ce bien... Tout le monde disait qu'elle était partie ailleurs, à l'étranger. Elle lui en avait voulu. Elle aurait aimé qu'elle lui dise qu'elle était partie, au revoir au moins. Toutes ces semaines, tous ces mois à attendre une lettre de sa part et elle était là. Enfermée dans les sous-sols de l'asile. Isobel esquisse un fin sourire et lève ses mains dans un cliquetis. De l'autre côté de la porte, des cris, des surprises. La rouquine n'y prête pas attention. La sorcière lâche la petite fille et serre contre ses bras la pauvre Isobel. Elle baise tendrement son front. Leurs larmes de joie s'entremêlent. La jeune femme regarde désespéramment les chaînes, magiques bien entendu. Un sort ne suffira pas à les briser. Elle saisit les mains d'Isobel.

« - Je vais chercher de l'aide ! On va te sortir d'ici, je te le promet. » Elle se tourne vers l'enfant. « Tu vas rester avec elle et veiller sur elle.  Tu peux faire ça ? » La petite fille hoche de la tête. Lily sourit et lui ébouriffe tendrement les cheveux. « Tu es forte. Je le sais. »

Elle pose un regard inquiet sur la prisonnière et quitte la chambre. Elle doit trouver de l'aide. Quelqu'un qui pourrait l'aider. Cependant elle n'a le temps de faire le moindre pas que les combats résonnent autours d'elle. Bien de très différents, mais Miss Evans n'y prêtait absolument pas attention à cet instant. Son attention était irrésistiblement attirée par ce mur qui les entourait. Haut, bien trop haut. Elle fit la première chose qui lui traversa la tête, lancer un sort dans l'espoir de briser le mur. Cependant, la magie qui réside dans le mur est bien plus puissante qu'elle ne s'attendait et la jeune femme se fit repousser en arrière, perdant sa baguette et tombant sur un homme plier en deux.

L'allure menaçante, le regard sombre. Remus était entre lui et – ô joie – cette charmante Trèfle qui devait être en train d'utiliser sa technique de drague numéro dix : la princesse en détresse. L'homme furieux s'approcha de Lily, les mains tendus dans sa direction. Elle mordit à pleine dent son avant-bras dénudés. La chaire humaine n'a pas bon goût. Elle n'est pas prête de devenir anthropophage. L'homme pousse un hurlement. Le goût métallique du sang envahit sa bouche. Il secoue son bras, mais elle refuse de sa lâcher sa prise. Ce type doit dégager. Ils doivent sauver Isobel. Ce type doit mourir. Pour Isobel, pour tout les mois qu'elle a perdu dans cette chambre. 

Lancer 1 a écrit:

Sirius fait face à un inconnu, que se passe-t-il?
Oui – C'est un simple patient qui ne veut de mal à personne, Sirius le contourne et poursuit sa  course.
Non – L'inconnu est un ennemi qui restait, ce dernier se prépare à attaquer.

Si Non:
Oui – L'ennemi attaque, Sirius se fait abîmer le bras et l'homme part avant quelconque risposte. L'animagus ne s'attarde pas et continue son chemin.
Non – Sirius utilise « protego » et frappe l'ennemi à la tête avec le premier objet qui lui tombe sous la main pour l'assommer puis continue son chemin.

Lancer 2 a écrit:

Sirius doit choisir une direction :
Oui – Il tourne à gauche et se retrouve avec le Groupe 1.
Non – Il continue droit devant et se retrouve avec le Groupe 2.

Lancer 3 a écrit:

Parvient-il à jeter le sort ?
Oui – Le sort est jeté.
Non – Sirius se fait désarmer par un parques.

Si oui:
Oui x2 – Le mur n'est pas endommagé, mais le sort rebondit pour atterrir sur un ennemi et le sonner un peu.
Non – Le mur absorbe le sort qui n'est donc d'aucune efficacité.