dés:

I save you

Un simple rhume et le voilà en train d'agonir. Lily avait éclaté de rire en lisant le hibou de l'instructeur, moins quand elle est allée à l'université est s'est rendu compte que Monsieur refusait de faire cours étant donné qu'il avait un petit rhume. Attention ! Pas n'importe quel rhume ! Il était classé catégories trois dans les maladies magiques dangereuses et c'est avant tout pour leur bien qu'il se refusait de donner cour. L'instructeur de l'année dernière était un lâche et un peureux, incapable d'accomplir son rôle par peur du noir. En se spécialisant, la rouquine aurait espéré un instructeur un peu plus sérieux. Celui-ci semblait flemmard et un rien était une excuse pour ne pas donner cours. Elle n'avait guère envie de rentrer à l'appartement, il n'y avait que Vivaldi et le petit fléreur avait décidé de lui faire la tête, car elle avait refusé de lui acheter la souris magique hors de prix qu'il avait vu dans le dernier numéro de Sorcière Hebdo que Lily avait laissé traîné sur son lit. Ne sachant que faire et n'ayant pas les moyens pour faire du shopping, la sorcière rejoignit le QG de l'Ordre du phœnix. Bien décidée à savoir où ils en étaient dans la traduction du livre qu'elle avait trouvé.

A peine eut-elle le temps de se glisser dans son fauteuil préféré prêt du feu que la tête du professeur Dumbledore apparut dans le feu. Pas de discussion, elle devait se rendre en toute urgence à St Mangouste, l'hôpital était attaqué et elle se devait d'aider les civiles et surtout essayer de voir si certains membres disparus de l'Ordre ne seraient pas là-bas.

« - Va s'y Lily, je préviens les autres. »

La jeune femme hoche de la tête et se transplane directement dans l'air de transplanage de St Mangouste. Lorsqu'elle arrive, il n'y a qu'un mot pour décrire ce qu'elle voit : chaos. Des sorts qui fusent de partout, des combats. Et surtout ce passage. Qui sortait d'elle ne sait d'où, enfin si, il sortait du mur. D'un geste vif elle se saisit de sa baguette, dans son esprit les deux missions : sauver les civiles et voir si des membres ne sont pas présent. Elle ne sait où aller, ni que faire, pas de plan. Avec précaution elle descend les escaliers. Elle est seule dans la masse. Les images sanglantes de l'attaque de l'université lui traverse l'esprit. Ella qui est morte par sa faute. La demoiselle se fige, terrifiée par ce qu'elle doit faire face. Comme si quelqu'un venait de lui jeter un sort, elle n'est plus capable de faire quoi que ce soit. Son bras retombe.

Des pleures résonnent non loin. Ils agissent sur elle comme un charme qui brise le mauvais sort. Une petite fille brune du côté des escaliers, seule elle aussi. Personne ne fait attention à elle, on la bouscule, on lui marche dessus. Elle court pour la rejoindre et s'agenouille devant elle. Un sourire rassurant sur les lèvres. Du bout des doigts elle lui caresse le visage.

« - Hey, ça va aller, ne t'inquiète pas. »

Les sorts résonnent. Elle regarde derrière elle, le chaos. Devant elle, le chaos aussi. L'idéal serait de remonter et de la mettre à l’abri, mais le regard de la jeune femme s'assombrit à la vue des gros bras balançant à tour des bras endoloris et avada kedavra.

« - Vient. »

Un peu comme dans un rêve, l'impression d'être coupée du monde, que le son ne passe plus, comme si on glissait des bouchons dans ses oreilles, tout se passe. Elle qui se penche pour attraper l'enfant et la tenir dans ses bras. Les sortilèges de protections qu'elle lance les uns après les autres. Son regard effrayé qui ne sait où aller que faire et puis cette porte ouverte, incarnant le calme et la sérénité dans ce monde apocalyptique. Sans attendre la sorcière pousse la porte et pose à terre l'enfant. Ce n'est qu'au moment de se retourner qu'elle prend conscience qu'elles ne sont pas seule dans cette chambre. Quelqu'un était déjà présent.

Spoiler:

Storm is coming

« come on, camping time !»

Amber revenez d'un déjeuner. Déjeuner chez les Dolohov où elle avait passé la matinée en présence de son fiancé ainsi que de ses parents. Bien sûr, comme à son habitude, le sourire avait été de mise pendant toute la rencontre, les bonnes manières apprises prônant sur tout le reste. Enfin, en réalité, elle aimait bien les parents Dolohov, tout à fait rattaché aux idéologies des sang-purs. Et la jeune Nott pensait bien que ces derniers l'appréciaient aussi. Enfin. Elle était sortie de chez eux voilà une petite demi-heure et avait décidé d'aller faire un tour près des magasins. Oui oui, de vêtement bien sûr. Et pendant que la jeune femme défilait dans les boutiques, elle ignorait totalement que St mangouste était prise d'assaut par un groupe politique visant à s'en emparer. Elle n'en avait aucune idée. Mais comment pourrait-elle le savoir. Alors pendant que les assaillants se glissaient de plus en plus loin entre les murs de l'hôpital, Amber elle, déambulait devant les beaux habits.

Mais soudain, alors qu'elle marchait tranquillement, elle sentit une douleur soudaine au niveau du bras. Comme ça, en pleine rue. Discrètement, elle releva alors la manche de sa veste pour voir la tête de mort et le serpent tracé nettement sur sa peau. Le signe. Non. L'appel. Levant la tête pour jeter un regard autour d'elle, Amber rebaissa sa manche, recouvrant alors l'annonce du rassemblement. Se retournant, elle repéra l'endroit de la rencontre et sans tarder,transplana. Il ne fallait pas attendre une seconde. Le Lord n'aimait pas le retard.

Et en quelques secondes, Amber se retrouva à...St Mangoust. Mais St Mangoust en combat, avec des personnes dans tous les coins, à terre ou non, en train de se défendre, d'attaquer ou d'essayer -en vain pour certain- de se protéger. Heureusement, alors qu'elle se rendait compte qu'elle devait agir pour se protéger elle-même et l'hôpital, elle était arrivée dans un coin de la pièce où il n'y avait pas deux personnes en train de se battre. Apercevant alors un peu plus loin deux personnes qui semblaient essayer de soumettre un défenseur du lieu. Sortant sa baguette, elle la pointa vers les deux 'agresseurs' et lança un sort ayant pour but de les neutraliser. Mais celui-ci n'atteint jamais la cible. Ce-dernier l'ayant bloqué rapidement et tournant la tête pour trouver la source de l'attaque. Laissant un faible juron franchir ses lèvres, Amber se cacha derrière une colonne pour ne pas se faire remarquer par l'homme. Heureusement, en levant la tête, elle s'aperçut que le chemin était libre devant elle et elle pouvait voir un peu plus loin, quelques assaillants se 'balader'. Jetant un coup d'oeil autour d'elle, elle se décida à les suivre, prenant le chemin en face d'elle. C'était les ordres. Défendre cet endroit coûte que coûte.

© Chieuze

Dès:

Sainte mangouste me voilà ...

Remus était dans sa maison en train de faire un devoir. Il devait rendre une trentaine de parchemins. Il était entouré de livres qui remplissait la table et avait seulement un espace pour son parchemin et l'encre. Il était concentré sur sa tache qu'il sursauta violemment quand une forme argentée qui était apparu devant lui. La forme argentée était un patronus et celui-ci était porteur d'un message. On lui disait d'aller aider des membres de son camp.
Il laissa donc en plans ses devoirs et sortit de chez, lui marcha vers un coin sombre et transplana jusqu’à sainte mangouste. Le jeune homme avait juste mal calculé son coût et se retrouva en plein milieu du champ de bataille. Il eut juste le temps de lancer un protego et puis finit par se cacher derrière un mur. Il essaya de voir les visages des personnes qui se trouvaient dans le coin. Il avait des sorts de la mort qui était jeté dans tous les coins des doloris. Remus essaya de chercher des membres de son camp. Puis, il essayait de voir aussi, s'il voyait des amis à lui.

© SleepingCookie

Citation :

Dé n°1 : Un sortilège d'expéliarmus fuse dans sa direction et celle de son coéquipier. Est-ce qu'elle est touchée ?
- Oui : Elle perd sa baguette et le sort la propulse contre le mur
- Non, c'est son partenaire qui le prendre de plein fouet

Dé n°2 : Alors qu'elle continue son avancée. Elle croise quelqu'un. Est-ce qu'elle a confiance ?
- Oui, elle le (ou la) connait
- Non, ennemi probable

Dé n°3 : Dans le cas où elle reconnait le personne
- Oui = Remus
- Non = Marlène

Dé n°4 : Dans le cas où elle ne connait pas
- Oui = Amber
- Non = Eoghan

C’était une question de survie. Même si Amber n’était pas l’une des leurs, elle ne pouvait rester sans baguette magique. Heureusement pour elle, la garce des Serpentard, comme elle aimait l’appeler, ne fit rien de suspect. Etrange. Trèfle s’attendait vraiment à ce qu’elle lui jeté un sortilège. Pas forcément parce qu’elle était une supposée mangemort d’après elle, mais parce que leur amour était aussi idyllique qu’un désert sans la moindre oasis. Sans peine, la blonde réussit à récupérer son item et les deux femmes se faisaient désormais face, en position de duel. La denrière des Grengrass s’apprêtait à lui demander ce qu’elle faisait ici quand une explosion retentit jusqu’à ce que l’obscurité envahisse les lieux. Aucune source de lumière, elle ne voyait strictement rien et une peur qui remontait si loin dans son enfance enserra son cœur, un sentiment qui ne fit que se renforcer lorsqu’un cri d’agonie éclata, résonnant dans les couloirs sinistres de l’asile.

Trèfle lève sa baguette et lance un lumos, éclairant un peu les alentours. Sa main tremble, elle tourne sur elle-même mais plus de trace d’Amber, ni personne. Les cris semblaient lointains. Trèfle, ressaisit toi ! La jeune femme se gifla intérieurement, se secouant la tête pour s’éclaircir les idées. Dès lors, elle se mit à courir vers la source des cris. Soudainement, elle trébucha et se retrouva face contre terre. La violence du choc lui coupa le souffle mais son poing serrait si fort sa baguette que cette fois-ci, elle réussit à la garder en même. Rapidement, Trèfle roule et se retrouve en position assise, éclairant l’objet de sa chute. Une jambe qui se débattait. La lumière remonta lentement et c’est alors qu’elle le reconnut. « Remus ! » Crie-t-elle en se relevant. Le jeune homme se débattait avec une femme dont le rire lui confirmait sa présence ici.

Trèfle pointa sa baguette mais elle ne pouvait tirer sans risque de toucher le maraudeur. Pestant contre sa malchance, la blonde se mêla au combat, essayant de maitriser la folle dingue qui se débattait comme une damnée, en espérant que Remus puisse reprendre sa baguette. A deux, ils devaient pouvoir y arriver, n’est-ce pas ? En espérant qu’un ennemi ne vienne pas dans leur dos, évidemment.

Marauders' Calling

Cet homme, à la baguette (pas braguette hein) tendu lance t-il un sort à Electra ? Arrivera-t-elle à se protégé ?
-Oui, Il lui lance le sort, mais elle arrive à s’en protéger.
- Oui, il lui lance ce sort, mais c’est trop tard, elle est trop lente, et se le reçoit en pleine face.
-Non, il a sa baguette visé sur une autre personne. Donc, elle n’a rien.
-Non, il a sa baguette sur  une autre personne, mais le sort qu’il lance se retourne contre lui grâce à un protégé qu’Electra lance pour protéger cette personne (bawi elle a le dos tourné, cette inconsciente è_ é).

On m’avait demandé d’être à Saint mangouste ce jour-là, un attaque avait été prévue, je ne me souviens plus réellement la cause de cette attaque, mais j’avais décidé d’y aller, pour aider… Je n’ai jamais aimé me sentir inutile. Alors, très tôt, je m’étais préparer, entrainer même, j’avais laissé mes chéris en garde pour qu’ils n’aient rien… J’étais à présent dans l’hôpital, attendant le signal, ce signal qui fera de l’hôpital surement un champ de guerre… J’espère que ce ne soit pas le cas, qu’il ne se passerait rien, mais que l’opération se passera sans encombre… Ca me terrifie tous ca… On m’avait prévenue qu’on allait attaquer, enfin, mon groupe, clan, entendez cela comme vous voulez… Je dois avouer que je ne suis pas tellement d’accord avec ça… Mais je me suis engagé, à moi de réagir comme ils l’attendent… J’étais à l’hôpital quand ils ont crié « à l’attaque » ou à l’assaut… Je ne me souviens plus tellement… Des sorts fusent déjà dans tous les sens… J’ai l’impression de me retrouver dans un film d’action made in moldu… Je ravale ma salive et fonce dans le tas, j’ai peur, mais je fonce, baguette en main… Un homme fonce vers moi avec sa baguette tendu… Le con lance un sort sur quelqu’un, alors qu’elle le dos tourné, le lâche… Furieuse, je lance un protégé sur la visée pour le protégé, camp ennemis ou non… Je n’aime pas les lâches… Toujours autant furieuse, je crie, peut-être un peu fort « Expelliarmus » suivit d’un « stupéfix » malheureusement, le stupéfix avait atteint une autre personne. Je ne sais pas qui, il y en a tellement, que ça m’angoisse… Au moins, le lâche ne sera plus un lâche ! Je sais, c’est une mauvaise réaction dans ce genre de scène, il est peut-être dans mon camp, mais, je suis peut-être trop gentille pour être ici… Je continue d’avancer, perdue, me cognant à tort et à travers… Je vois des sorts fusés de partout… Moi-même, j’en lance dès qu’on essaye de m’attaquer… Surtout pour le protéger lui, je n’étais pas au courant pour ça, lorsque je m’étais engager, maintenant, faut que le protège lui, et moi par la même occasion… Du coup, sans scrupule, je lance sortilège sur sortilège.

Spoiler:

Comme dans toute attaque et champs de bataille, il y a des victimes, est ce que Leonora se reçoit un sort ?
-Oui, elle se recoit le plus beau expelliarmus qu’elle n’a jamais recu de sa triste vie et se retrouve projeter contre un mur.
-Non, elle a vu l’attaque arrivé et à pu se protéger avec un protégo in extrémis

J’étais tranquille dans l’arrière-boutique de mon magasin, à faire les inventaires ainsi que la comptabilité lorsque ma cheminée s’était mise à crépiter pour enfin voir une tête en sortir… « Saint Mangouste est attaquée, faut que tu vienne, il risque de y avoir des blesser si on intervient pas. C’est Dumbledore qui le demande, vite ! » Qu’est-ce que les gens peuvent avoir dans le crane pour attaquer un hôpital ? Ont-ils un peu de respect pour les patients ? Dans le trouble, j’ai décidé d’y aller, si on avait besoin de moi, s’était mon devoir d’agir pour les aider… Même si, utiliser ma baguette dans ces conditions ne me plaise guère… Dans un soupir, je transplane devant l’hôpital… Je n’étais pas la seule devant, d’autre personne rentrait, d’autre sortait. Inspirant longuement, je fonçais, bousculant parfois. Des malades sortaient de l’hôpital terrifié, même si, l’attaque ne visait pas l’hôpital en lui-même, mais la section psychiatrique… Que Merlin nous protège. Je suis enfin dans le hall d’entrée, stopper par d’autre sorcier qui poussait pour passer ou sortir. Ça m’agace franchement, cette atmosphère me pèse, les gens sont énervés et dans cet état d’énervement, ça ne peut qu’engendrer que des drames… Une enfant est sur le sol, elle voulait surement sortir, puis bousculer par inadvertance… Pauvre enfant, j’ai décidé de l’aider à sortir. C’est mon devoir de protéger ces pauvres gens, qui non rien à voir la dedans… Je lance un stupéfix sur un homme qui avait bien faillit piétiner cette malheureuse… Rapidement, je la rejoins, pour la prendre avec moi, dans mes bras, la baguette toujours active, j’essayais de me frayer un chemin dans cette marée humaine… Une fois arrivée dehors, je mis la petite en sécurité et fonçai à nouveau dans cette guérilla générale… Dans ces cas-là, ne doit-on pas dire « Bonzaï » ? Comme les samouraïs en tant de guerre ? Eh bien, Bonzaï ! Rentrons dans le lard de ces impudents ! La baguette toujours pointées droit devant moi, je file de nouveau dans le hall et essaye de me frayer, à nouveau, un chemin vers le noyau défectueux… Notre devoir principalement, ne s’était pas nos chers disparus ? Et bien, casse la tienne, autant les chercher, même si pour cela, je dois supéfix à m’en rendre malade… Amen, que dieu me garde… Euh Merlin me garde… Alors que j’avançais dans cette foule, un homme m’attaqua avec un expelliarmus, surprise, je n’ai pas eus le temps de me défendre correctement, du coup, avec se sort puissant, je suis atterris contre le mur d’en face, sonné comme jamais… Putain, ça fait un mal de chien quoi…

Spoiler: