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la folle qui se trouve devant moi

La porte de la chambre s'était ouverte et Remus se retrouva à rouler en boule dans le couloir en essayant d'arracher sa baguette à la folle alliée qui rigolait toujours comme une tarée. Il ne voyait rien, mais sentait plus qu'autre chose. Les ongles de la furie s'enfoncer dans sa peau blanche, puis parfois le rire s'arrêtait et laissait place aux dents de la jeune femme, ce qui faisait pousser des cries de douleur au loup-garou. Puis une personne trébucha sur ses pieds, il avait peu vu un moment les yeux de son adversaire. Ceux-ci lui donnèrent un frisson pendant un petit moment.

Puis la lumière partit de nouveau, il se demandait qui était de ce couloir. Il finit par revoir la lumière et entendit la voix de trèfle, un petit moment de panique prit le corps de Remus. Il ne voulait pas qu'il arrive quelque chose à la jeune femme. Elle vient l'aider à arracher sa baguette des mains de la folle furieuse, quand avec un méli-mélo de mains, par mégarde Remus se retrouva avec les bras de Trèfle dans ses mains et il poussa un crié d'indignation se demandant encore comment cette harpie de folle qui s'enfuyait avec sa baguette maintenant avait bien pu faire sa.

Lâchant un des poignets de trèfle et l'aidant par ma même occasion à se remettre debout. Il entraîna la jeune femme à la poursuite du rire de la pauvre folle. Quand il aperçut qu'elle lançait des sorts en tout sens, certains ne touchaient pas leur cibla alors que d'autre les touchait de plein fouet. Elle finit par lâcher le bras de trèfle et attrapa la tignasse de celle qui lui avait piqué sa baguette. Elle lâcha sa baguette sous la douleur et Remus tellement en colère la plaqua contre le mur. Il n'avait envie que d'une chose la tuait sur place.

© SleepingCookie

Spoiler:

ATTAQUE DE ST MANGOUSTE

It's your turn to choose if your'e afraid or not

Les bruits des combats étaient de plus en plus forts et la panique augmentait. On entendait les cris, les pleurs, les gémissements et les rires sadiques qui vous glaçaient le sang. Sinéad dut se résoudre à faire quelque chose. Elle ne pouvait pas rester ici sans rien mais elle ne pouvait pas sortir tout le monde. Sa priorité était Harrison car il était là par sa faute. Elle réfléchit un moment et tenta un sortilège compliqué qui foira totalement. Il fallait qu'elle trouve quelque chose. L'irlandaise finit par trouver une solution mais savait que si elle se faisait prendre à faire ça, elle aurait des problèmes. Enfin, pas sur que le ministère se préoccupent de ça alors qu'une guerre venait d'exploser à Sainte-Mangouste. Elle attrapa donc le vase situé à côté du lit du jeune homme, vida son contenue sur le sol propre puis l'ensorcela comme elle pouvait pour en faire un portoloin. C'était un sort compliqué mais elle avait appris à le faire pour pouvoir fuir en cas d'extrême urgence ce qui était ici le cas. Elle le donna ensuite à son ami en lui assurant que tout allait bien se passer pour elle. Dès qu'il ne fut plus dans la pièce, elle sortit et constata le carnage. Un homme la fixait d'un regard mauvais. Son sourire sadique indiquait bien à la jeune femme qu'elle devait bouger le plus vite possible. Elle pointa sa baguette en direction de l'homme qui commença à lancer ses sorts. Elle parait tant bien que mal ses attaques. Elle entendait des pas au loin et commencé à se dire qu'elle allait peut-être mourir ici.

NON ! Elle devait se battre quoiqu'il arrive. Elle attaqua cette fois. Tout était permis à ce moment là et elle ne s'en priverait pas. Elle lançait de violents sorts mais n'était pas encore assez rapide car elle ne s'était toujours pas remise de l'attaque. "Reprends toi, Sinéad bon sang..." pensa t-elle. Une expression agressive sur le visage, elle redoubla d'effort et de vitesse. Malheureusement pour elle, l'homme fit de même et avança même pour désarçonner la jeune femme. Elle, un peu déconcerté recula et comme la malchance se mettait doucement de son côté, elle trébucha sur un scalpel sur la sol et se retrouva sur le sol.

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.

Spoiler:

Fausser compagnie à son mari et à son garde du corps…fait. L’excuse ? Je ne me sentais pas très bien et je souhaitais me retirer dans ma chambre. Notre couple était terriblement étrange. Autant je le haïssais au début parce que j’étais détenue contre mon gré, autant par la suite je me suis mise à l’aimer sincèrement, avant de le détester à la perte de notre enfant. Suite à cela, j’avais pris l’habitude de retourner dans la chambre qui m’avait été attribuée à mon arrivée ici. Il ne disait rien, soupirait simplement. Mais aujourd’hui, je pourrais m’enfuir tranquillement.

Enfilant ma cape, je me suis rendue à Sainte Mangouste, en passant par la fenêtre et en transplanant. Tout se passait très vite et je fus embarquée dans les profondeurs de l’hôpital par le mouvement de foule. Une fois en bas, j’étais plaquée contre le mur. Je ne souhaitais pas me battre plus que ça. Je souhaitais simplement rendre justice à Privelina Macnair, aucune femme ne devrait avoir peur pour sa vie ainsi.

Et puis il fit noir, j’eus l’impression qu’il faisait froid, mais s’était simplement mon sang qui se glaçait en entendant les cris et les rires. Je jetais un lumos. J’avais besoin de voir pour survivre et pouvoir aviser. J’avais été douée par le passé pour tout ce qui était sortilèges complexes. Mais je ne savais pas si j’avais perdu la main ou non.

Non loin de moi, je vis une femme se faire attaquer par un homme. Je ne la connaissais pas du tout. Mais je la vis tomber. Je ne pouvais rester là, sans rien faire, ce n’était pas dans mes habitudes. Très rapidement, j’ai pointé ma baguette dans sa direction, que faire ? Finalement, je me suis rabattue sur un sortilège simple. Après tout, c’était peu être une personne de mon camp. Le sort fila droit sur lui et le figea dans l’action. Je me suis alors rapprochée de la femme à terre.

J’étais complètement stupide. C’était peut-être un mangemort et moi je venais de lui sauver la vie…Tant pis, je ne pourrais jamais vivre en sachant que j’avais laissé une femme se faire assassiner, qu’elle soit pour n’importe quel mouvement politique. Je lui ai tendu la main pour l’aider à se lever.

« Est-ce que ça va ? »

Elle pouvait très bien m’envoyer en enfer, mais j’osais espérer qu’elle ait un minimum de reconnaissance.

Electra rencontre elle, un de ses fous qui sont sortie de leur prison?
-Oui, lorsqu'elle se retourne, elle se trouve nez à nez avec un homme au regard fou, effrayant.
- Non, elle peut repartir à la recherche de sa cousine Andromeda.

Si oui, que ce passe t'il? Arrive t'elle à se défendre, ou non?

-Oui, elle sort sa baguette à tend et lance un expélliarmus.
- Non, le fou l'attaque, en l'attrapant par la gorge, il l'étrangle.

Quel est le con déjà qui m’avait dit que je n’aurais pas peur lors des missions ?! Je jure que si je le retrouve ce guignol, je lui fais la tête au carré, parce que là, j’ai tous, sauf pas peur… En même temps, quoi de plus normal, lorsque l’on voit le désastre de cette mission…Il y a beaucoup trop de monde pour un espace aussi exiguë qu’est ce lieu… S’en étouffant tellement qu’il y a du monde autour de moi… Pour me calmer, je chantonne quelques douces chansons de mon enfance, ça avait toujours eu un effet plus qu’apaisant sur moi. Lorsque mon père revenait ivre d’alcool, je me chantais souvent des chansons caché sous mon lit… Seulement là, ce n’est pas un homme bourré que j’avais à faire, mais à des hommes ARME ! Voilà toute la différence… Encore heureuse que ma cousine était là pour me sauver les miches, grâce à elle, je n’ai pas à recevoir un de ses sorts traitres. Je lui souris, d’une telle façon que le sourire n’en était plus un, mais une vulgaire grimace, en même temps, je paniquais légèrement, tout ça me dépassait… Bon sang, je suis trop jeune pour tous ca… Je devrais vivre avec inconscience, faire des fêtes, picoler lors de soirée… Non, au lieu de ça, je me bagarre baguette à la main, chouette l’adolescence… Je fixe alors Andromeda, toujours avec ce sourire bizarre… « Je te ferais bien un gros câlin, mais je doute que ce soit vu d’un bon œil dans cette cohue… On s’en fera un après, au pire ! Bon sang, j’ai hâte de sortir de là… » Ça me donne du baume au cœur, n’empêche de savoir que j’ai de la famille, qui, en plus vient de me sauver mes fesses adorer… Attendez, mes fesses, elles sont trop bien formées pour être amoché… « Apparemment, ils ont dû être emporté par la vague de sorcier… » Je prends le bras de ma cousine, avec se coup ci, un vrai sourire, doux et franc. « Viens, on va les chercher. Et puis, autant rester ensemble, le temps de le retrouver. Seul, on ne sait jamais ce qui pourrait se passer… » Seulement, après avoir prononcé ses quelques mots, un crie s’était fait entendre… Plus de lumière, rien… J’ai le droit de paniquer là ? J’ai envie de hurler à mon tour pour le coup… J’utilise un Lumos, mais, lorsque je me retourne pour voir ma cousine, elle n’était plus là… Bon sang, j’étais à nouveau seul… J’ai peur maman ! J’aurais dû rester avec elle en Australie tiens… Alors que j’étais décider à retrouver Andromeda, je me suis retourné pour aller la rechercher, seulement, au lieu de ça, je tombai, nez à nez, avec un homme terrifiant, le regard qu’il avait pourrait faire peur le plus grand mage noir de l’histoire –ou pas-, je recule, seulement, il fut bien plus rapide que moi, m’attrapant la gorge et la serrant avec force… Je suffoquais… « A… à l’aide… » Je sentais que la fin était proche, je commençais à voir flou… Que quelqu’un me sauve, par pitié… Je ne veux pas mourir… Pas avec un enfant à l’intérieur de moi… Pas comme ça… Merlin, sauve moi… Voilà que je priais… « Pitié, venez à mon aide… Sauvez moi… », j’avais la voix cassé, normal, avec deux mains autour de mon coup…

Une mains touche celle de Leonora, qu'elle est elle?

- Oui, celle d'un fou échappé.
- Non, celle d'une de ses connaissances.

Si oui, que fait le fou? -1-

- Oui, Il l'attrape et la plaque contre le mur.
- Non, Il se prend un crochet du droit par Leonora qui est furax d'avoir eu si peur.

Si oui, comment l'attaque t'il? -2-

- Oui, Il a eu le temps de lui dérober sa baguette et l'attaque avec un sort de son cru, inconnu de la jeune demoiselle.
-Non, Il tente de prendre la baguette, mais manque de chance, elle libère un de ses bras et se libère avec une force qu'elle ne soupconnait pas l'existence... Mais se recoit quand même un violent sort, elle est blessé.

Il se passe souvent des choses qu’on n’arrive pas à gérer… Et cette mission en fait partie… Je n’aime pas perdre le contrôle de ma baguette comme ça, je ne sais plus qui est avec moi et qui est contre moi… Ça m’énerve un peu… En plus, je n’arrive pas à voir si j’ai des connaissances parmi ces gens, surement … Vu qu’il y a tellement de monde ici, qu’il est fort probable qu’une de mes connaissances se trouve là… Croyez-vous qu’un jour, les gens arrêteraient de se foutre sur la gueule à la moindre prétexte ? J’avançais sans réel but… Baguette à la main… Mais lorsque les lumières s’éteignit, je mettais arrêté, surprise, je n’ai même pas utilisé ma baguette pour un Lumos… Broouh… Terrifiant… Je n’aime pas ce genre d’atmosphère sérieux… Puis, une main… Une main glacée toucha ma main… Qu’est-ce que s’était… Je ne me posai pas longtemps cette question vu que, rapidement, je m’étais retrouver accoler contre un mur, froid… Qu’est ce qui se passait… Troublé, je n’avais pas réagis au quart de tours, et ça m’était préjudiciable. Le temps que je reprenne mes esprits l’homme prit ma baguette de force et me menaçait avec… Seulement, l’erreur du coup, c’est qu’il avait lâché un de mes bras pour prendre ma baguette. Ça m’avait permis de le pousser avec une force inimaginable… Je ne me serais jamais douter que j’avais une telle force… Surement l’adrénaline… Mais, il avait eu le temps de me lancer un sort… Je n’ai pas entendu quel sort s’était, mais, il me fit réellement mal, tellement, qu’un hurlement sorti de ma gorge… Titubant, je me retrouvai contre le mur à nouveau, je perdais du sang… Le fou est partie… Avec ma baguette… Je connaissais des sorts de soin… Mais sans baguette, ça m’étais impossible de les pratiquer… Je perdais mon sang… Je n’aurais jamais cru, qu’en venait ici, le pire pourrait arriver… Je savais qu’il y aurait des blesser, mais ça arrive toujours aux autres, jamais à soi, dans l’hypothèse… Je sens que mon sang coule… Mes doigts sont poisseux et l’odeur du sang me prend au nez… « Au secours… »

Dés:

ATTAQUE DE ST MANGOUSTE

It's your turn to choose if your'e afraid or not

L'homme en face d'elle commença enfin à s'amuser lorsque Sinéad fut désarmer. Il lui lança un sort, la lacérant et créant en elle un méandre de douleur. Elle hurla et sentit son corps la lâchait. Serait-il possible que ses blessures draine son énergie ? Non cela serait pure folie... ou pure magie noire ! La blonde avait beau avoir été l'une des meilleures de son école à l'époque où elle y était encore, ce temps était bel et bien révolu. Son heure arrivait donc bien vite...

Ellésianna brandit soudain sa baguette sauvant la vie de l'irlandaise. C'était donc elle les pas que la blonde avait pris pour ennemis. Elle ne remercierait jamais assez Ellésianna.. Si elles arrivaient à fuir l'endroit maudit. Elle se traina jusqu'à sa baguette tentant de réduire les dégâts sur ses jambes. Ce n'était pas fantastique mais au moins elle put se relever.

"Hum, ça pourrait être pire et toi ?"

La brune ne semblait pas avoir reconnu de suite sa compatriote. Elles avaient été ensemble à Poudlard et Sinéad avait tenté de sortir son amie de son mariage. La grande question n'était pas là. Elles auraient largement le temps de discuter si elles pouvaient rapidement sortir de là.

Tom Jedusor fit son annonce meurtrière s'avouant lui-même comme un traître près à détruire ses semblables par simple plaisir sanglant. Sinéad se tourna face à ses nouveaux adversaires mais aussi face à sa nouvelle équipe ne sachant que faire. Il fallait qu'elle réfléchisse et vite. Ne trouvant pas elle s'écria :

"Quelqu'un a un plan ?"

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.

Spoiler:

Dès:

Sainte mangouste me voilà ...

Tout à coup les lumières se rallument et Remus put enfin voir pour de bon le visage de son vis-à-vis. Un frisson de terreur le parcourut dans toute l'échine. Elle donnait sérieusement la chair de poule. Pourtant, il ne recula pas et soutient le regard de la jeune femme. Il fut complètement déstabilisé en entendant une voix, cette voix lui donnait des frissons. Il serra de moins en moins fort le cou de la jeune femme. Quand Tom Jedusor dit qu'ils devaient survivre pour rester en vie. Il n'avait aucune chance et surtout il se demandait encore, comment se fou n'était enfermé avec ses patients. Il se rendit compte qu'il avait lâché la folle qui le poussa violemment, elle avait trouvé d'autres proies. Remus eut de la chance et tomba sur les fesses juste devenant trèfle. Il leva, la tête lui sourit, et se mit à chercher sa baguette des yeux. Il la trouva alors qu'un autre parque se jetait sur la baguette du loup-garou.

« Oh non, ma baguette. »

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