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 The ones we leave behind. (loterie)

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MessageSujet: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Sam 16 Mai 2015 - 16:14



The ones we leave behind.
RP loterie - groupe 04.




Participants : Evanna Gold, Nathan Dolohov, Leo Welker.
► Vous avez pris un portoloin avec plusieurs inconnus afin de vous rendre en France avec l'accord de ce pays. Malheureusement lorsque vous avez posés les pieds sur terre, vous avez du vous rendre à l'évidence, Paris ville lumière est à des milliers de kilomètre de vous. Vous êtes sur le continent américain, en haut de la statue de la liberté. Rentrer risque d'être amusant.

• Transplaner jusqu'au Royaume-Uni s'avère être une tâche terriblement dangereuse et quasi-impossible. Rentrer ? Voilà une mission bien ardue, surtout en employant des moyens plus conventionnels.

Ordre de passage : Evanna Gold → Nathan Dolohov → Leo Welker.
Sans réponse de l'un des membre dans un délai de une semaine, son tour est sauté.






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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Sam 16 Mai 2015 - 20:06

The ones we leave behind
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C’était une drôle de mission qu’on m’avait demandé d’exécuter et qui nécessitait de traverser la Manche en plus de ça. Encore une histoire de riche famille, de fiançailles et de tromperie. Bon, pour être honnête, je n’avais pas vraiment écouté. Pour ainsi dire, ça ne m’intéressait pas le moins du monde. Pour contenter le client, je l’avais écouté déblatérer l’histoire de sa vie en ponctuant d’onomatopée appropriée au ton qu’il prenait. C’était très bien payé, frais inclus, alors bon, quand j’avais appris que le probable amant se trouvait en France, je m’étai pas vraiment inquiétée et j’avais réservé une place sur un portoloin. Et puis, ça allait me donner l'occasion de voir du pays. Je ne connaissais pas grand chose d’autre que Londres et Poudlard, alors quitter le territoire, c’était un peu l’aventure. Un peu, parce qu’avec moi, c’était l’aventure tous les jours. Avec un peu de chance, il me resterait du temps pour faire un peu de tourisme. J’avais juste jamais eu l’opportunité de voyager. Là, j’avais pas les moyens et quand je les avais eu… et bah, le Quidditch, ça occupe.

J’avais réservé ma place avant-hier et j’avais sacrément tiré la gueule devant le prix que le guichetier affable m’avait demandé de sortir. Sauf que j’avais pas vraiment eu le choix qu d’avancer l’argent. Dans tous les cas, j’avais plus intérêt à réussir mon coup parce que sinon, je mangeais de la tourte aux choux jusqu’au prochain boulot… et Merlin savait combien j’en avais ras-le-bol de la tourte aux choux. Sauf que bon, là, j’étais à la bourre… genre vraiment. Tellement que je n’avais juste plus le temps de m’y rendre à pied. Il ne me restait plus qu’une solution, transplaner au Chaudron Baveur et emprunter leur cheminée. La mienne n’était pas connecté au réseau et comme, de toute façon, je n’étais pas sûre de pouvoir payer le loyer le moins prochain, je n’allais certainement pas débourser les gallions pour le faire à la place de mon propriétaire radin. J’arrivais pile à l’heure, prenant juste le temps de saluer d’un signe de tête mes compagnons de voyage et je posais ma main sur l’espère de vieille poignée de porte en laiton en totale synchro.

La sensation était toujours la même, mais je n’’étais pas sûre que je m’y habituerais un jour. Un crochet me saisit l’estomac et me tira violemment en avant. En moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, j’étais de nouveau debout sur ses pieds, n’ayant relativement pas trop mal réussit mon atterrissage cette fois, mais dans un endroit différent. Une espèce de grande pièce en métal gris-vert, percée de fenêtres. Je m’approchais de l’une d’elle et observais le paysage. Une chance que je n’ais pas le vertige, on était visiblement à une hauteur non négligeable et on avait littéralement la ville à nos pieds. Cependant quelque chose clochait, il me fallut quelques secondes pour réaliser. Le soleil était en train de se lever, et pourtant, on était parti à midi pile de Londres… étrange… Et puis… « Bon, je ne connais pas Paris… mais elle est où la Tour Eiffel ? Et pourquoi le soleil est en train de se lever ? » Je me tournais brusquement vers mes compagnons de voyage, qui avaient l’air au moins aussi déroutée que moi, et leur accordait réellement mon attention pour la première fois de la journée.
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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Dim 17 Mai 2015 - 10:07

The ones we leave behind, Evanna, Léo & Nathan
J'étais presque prêt à partir pour Paris, même si l'envie n'y était toujours pas. Tout a commencé hier, mon patron, le chef de la brigade de sécurité de Gringotts est venu chez moi en m'annonçant que Gringotts en France avait un brigadier gravement blessé et qu'il avait décidé que j'allais le remplacer. Il m'avait déjà réservé ma place sur le portoloin et m'a donné les clés d'un appartement sur Paris. Je pars tout frais payé par le travail, je ne vais pas m'en plaindre. Bien évidemment à peine sortit du travail, je suis allé prévenir le maître de mon départ et il m'a dit qu'il me contacterait s'il avait une mission pour moi. Je suis passé chez mes parents pour les prévenir et ensuite j'ai prévenu mon frère, il le fallait bien. À peine rentré chez moi, j'ai envoyé un hibou à Amber, puisque nous sommes fiancés, je me devais bien de la prévenir. J'ai ensuite préparer mes affaires pour un mois de voyage.

La nuit est passée bien trop vite et c'est ainsi qu'à midi moins dix, j'étais prêt pour prendre le portoloin. J'ai attendu l'heure tranquillement, la dernière arrivé était une femme, elle était pile à l'heure et eu juste le temps d'attraper cette vieille poignée en laiton avant que le portoloin ne s'active. Je sentis la sensation peu agréable qu'on me tirait par le nombril, mais depuis l'enfance, je m'étais habitué à ce moyen de transport. Mon atterrissage fut parfait, comme mes parents me l'avaient enseigné, après tout, un sang-pur doit savoir atterrir après la prise d'un portoloin, c'est comme aux sortir d'une cheminée. Je regardais autour de moi et je vis juste cette salle d'une couleur vert-gris, je ne connaissais rien de tel, bon je n'avais pas visité Paris, mais pour ce que j'en avais entendu, il n'y avait pas cela à Paris. Je m'approchais des ouvertures et je vis la ville s'étendant à nos pieds. C'était sûrement pas Paris, c'était même tout autre chose, des grands bâtiments très haut, avec beaucoup de vitre. Je ne comprenais pas du tout où j'étais, puis je me mis à réfléchir, quel pouvait être cet endroit. « Bon, je ne connais pas Paris… mais elle est où la Tour Eiffel ? Et pourquoi le soleil est en train de se lever ? » Dit la retardataire et c'est quand elle dit que le soleil venait de se lever, que je compris qu'on était à l'autre bout de la planète, très loin de Paris. On devait sûrement se trouver en Amérique, mais où en Amérique était la bonne question. Je n'en avais absolument aucune idée. « Nous ne sommes pas à Paris, nous devons nous trouver quelque part en Amérique. » Annonçais je posément en regardant dehors. Je n'allais pas me mettre à paniquer, du moins pas immédiatement. Il me fallait simplement trouver Gringotts et parler au chef de la brigade de sécurité, me présenter et expliquer toute la situation. J'avais qu'une journée pour me rendre à Paris, je devais prendre mon poste demain matin à Paris, hors pour l'instant, j'étais assez mal barré pour y arriver. Surtout qu'avant toute chose, il fallait découvrir où était le monde sorcier dans cette ville ou s'il fallait se rendre dans une autre ville pour accéder à notre monde. « Quelqu'un connaît cette ville ? » M'enquis je en regardant tous les passagers du portoloin à l'exception de celle ayant parlé, puisqu'elle ne semblait pas savoir où nous nous trouvions.
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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Mar 19 Mai 2015 - 0:21



Un voyage pas comme les autres




« J'y vais ! » lançais-je à mes grands-parents. Aujourd'hui je partais pour Paris. Comme tous les ans, je partais une semaine en France visiter ma famille moldue. Enfin, ceux qui ne m'avaient pas rejeté. C'était le même voyage chaque année : je passais voir ma cousine à Paris, avant d'aller sur la tombe de les parents dans mon village natale. La seule différence cette fois-ci c'est que j'y allais seul. Mes grands-parents étaient désormais trop vieux pour voyager aussi loin. Ils m'avaient payé la place pour le portoloin, les seuls frais tirés de ma poche seraient ceux sur place, mais j'avais de quoi vivre un bon mois aisément, je ne me faisais pas de soucis de ce côté là.
Un sac sur le dos, j'arrivais tranquillement devant le petit objet. Une vieille poignée en laiton cette fois. Il me restait trois minutes avant le départ. Pendant ce temps, je m'amusai à faire une liste de tous les portoloin différents que j'avais vu dans ma vie. La liste était longue et je n'eu pas le temps de tous les retrouver. Il était l'heure de partir. Une femme posa la main sur l'objet en dernière. Elle était pile à l'heure. Le voyage était toujours aussi désagréable mais avec l'habitude je n'y faisais plus attention. Mon atterrissage fut réussi, quoi qu'un peu maladroit. Le petit sourire qui était apparu sur mon visage au contact de l'air frais disparu aussitôt lorsque je vis la hauteur qui me séparait du sol. On a attérit sur la tour Eiffel ou quoi? Je m'étais collé à la paroi la plus proche, m'éloignant le plus possible du bord. Je n'avais donc pas eu le temps de voir où on était exactement. « Bon, je ne connais pas Paris… mais elle est où la Tour Eiffel ? Et pourquoi le soleil est en train de se lever ? » C'est la jeune femme de tout à l'heure qui avait parlé. Étrangement son visage me rappelait quelqu'un. En regardant plus attentivement mes doutes se confirmèrent. C'était Evanna Gold, l'une des plus dangereuses joueuses de Quidditch. « Nous ne sommes pas à Paris, nous devons nous trouver quelque part en Amérique. » Un homme pris la parole le coupant dans les pensées. Faisant alors l'effort de me décoller de la vieille paroi verte-grise, je m'approchai lentement du bord et regardai autour de nous. « Quelqu'un connaît cette ville ? »  Repris l'homme. Personne ne répondit. Apparemment tout le monde était perdu.
Le soleil se levait, cela confirmait donc ce que l'homme avait dit. La vue était magnifique et me rendait nostalgique, faisant remonter de vieux souvenirs à la surface.
« Je suis déjà venu ici » Laissai-je échapper tout haut. « On est à New-York, en haut de la statue de la liberté. »






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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Lun 25 Mai 2015 - 18:03

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Je fixais les deux autres du regard. Définitivement, il ne fallait pas compter sur moi. Que j’en sois arrivée à la conclusion qu’on était pas arrivé dans le bonne ville était ma limite. Ils étaient probablement plus jeunes que moi. L’un, celui qui identifia l’endroit comme étant le sommet de la Statue de la Liberté, semblait à peine sorti de Poudlard. L’autre avait tout du sang-pur d’une grande famille. La mèche qui me tombait devant les yeux commença dangereusement à virer à un rouge cramoisi qui ne présageait rien de bon. Dans un éclair de génie, je décidais de prendre sur moi, de prendre une grande respiration et de desserrer les poings. Je prenais dix secondes grand max pour admirer la vue avant de lâcher avec mon ton le plus cynique. « Et bien, au moins, on devrait pas avoir trop de problèmes avec la barrière de la langue ! » Ce qui en soit, était le cadet de mes soucis. Parce que là, dans l’état actuel des choses, à moins que je ne réussisse à arriver à Paris avant la fin de la journée, celle en Angleterre, j’allais même pas manger de la tourte aux choux les prochaines semaines.

Bref… soyons pratique. Je ne connaissais pas grand chose à l’organisation des autres pays en ce qui concernait la communauté sorcière, mais il devait bien y avoir un Chemin de Traverse new-yorkais. Fallait-il encore mettre la main dessus. En fait, il fallait d’abord qu’on retrouve la terre ferme. En plus de ça, il n’y avait aucune certitude que notre présence ici soit bien vu. J’avais coupé contact avec les autorités moldues anglaises depuis un moment, mais je savais qu’il fallait mieux pas se trouver face à eux. Et encore, je devais pas être la moins bien lotie, pour une fois, j’existais aux yeux du monde moldu, ce qui ne devait pas être le cas du sang-pur. Mon regard balaya la « pièce » dans laquelle on était et repéra sans mal la trappe dans le sol. Un « Alomohora » plus tard et le cadenas avait sauté. Je soulevais la trappe sans peine et me glissait dans l’ouverture. « Pas la peine de traîner là, vous venez ? »

Je bénissais les vêtements moldus que j’avais toujours préféré aux robes des sorciers. Parfois, la société sorcière était tellement… tellement rétrograde. C’est agaçant. Sérieusement, enfourcher un balai avec une robe était définitivement la meilleure idée qu’on puisse avoir. D’ailleurs en parlant de ça. « D’ailleurs, si vous avez l’intention de me suivre, vous devriez changer ces robes en quelque chose de plus moldu. Pas la peine de se faire remarquer par les autorités. » Ça ressemblait à un ordre, ça n’en était pas vraiment un mais pour que ça n’en ait pas l’air, j’aurais dû fournir un effort que je n’avais envie de faire. Je me retrouvais à l’autre bout du monde au moment le pire. J’avais pas payé mon loyer depuis des mois, avancé de l’argent. Bref, j’étais encore plus dans la merde que dix minutes plus tôt… pour changer.
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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Jeu 28 Mai 2015 - 0:15

The ones we leave behind, Evanna, Léo & Nathan
Je regardais toujours autour de moi quand le dernier voyageur annonça que nous étions à New-York, au sommet de la statue de la liberté. J'avais entendu parler de ce monument comme d'un monument typiquement moldu. La seule femme du voyage ne semblait pas plus enchantée que moi de se retrouver si loin de la France. Pour ma part, j'étais assez énerver par ce problème de portoloin, je tenais à mon emploi à Gringotts, pas pour une question d'argent ou de contact avec les sorciers, simplement parce que ça me faisait passer le temps. Et que ça ne faisait qu'augmentait la fortune de ma famille, surtout que je n'avais accès qu'à mon coffre, qui n'est pas forcément aussi rempli que celui de mes parents. Elle finit par dire avec cynisme, qu'au moins, nous n'avions pas la barrière de la langue. C'était la moindre de mes préoccupations, je devais bientôt me trouver en France moi et me préparer à y séjourner pendant un certain temps. Je cachais mon agacement et ma colère face à la situation. Ces deux là pouvaient m'être utile alors je n'allais pas me montrer trop caractériel, bien que j'en ai envie. Il faut savoir se tempérer par moment.

Mes yeux cherchèrent une échappatoire, parce que j'étais pas le genre à aimer être perché à plusieurs mètres de hauteur sur un monument moldu, sur un balai pourquoi pas, mais entre les pierres façonnées par les moldus, non merci. Je me mis à réfléchir, cherchant si on m'avait déjà parler de l'équivalent du chemin de traverse à New-York. J'étais certains pourtant qu'il y avait une banque Gringotts sur place ou au moins un lieu de travail de Gringotts. Puisque tout ce qui concerne l'argent intéresse les gobelins et qu'ils en recherchent un peu partout. Je me mis à réfléchir par rapport à ce que j'avais pu voir dans les papiers passant entre mes doigts au travail, mais rien ne me venait. Être dans la brigade de sécurité de Gringotts n'était pas le meilleur moyen d'avoir fréquemment des parchemins sur les autres lieux d'implantations de la banque. La femme lanca un « Alohomora » sur la trappe en bas qui s'ouvrit, puis nous annonça que ce n'était pas la peine de traîner là-haut et j'étais bien d'accord, alors je hochais la tête à sa demande si nous venions. Elle poursuivit bien vite en nous faisant remarquer qu'on devrait changer nos vêtements en tenue plus moldus pour nous fondre dans la masse des moldus. Ma grimace en dit long sur mon amour pour la vermine, néanmoins je comprenais ce qu'elle voulait dire, je comptais bien éviter les moldus au maximum et pas me faire remarquer à ceux qu'ils avaient pour équivalent des aurors. Déjà que les aurors me poseraient des problèmes, alors les moldus pour qui je n'existe même pas, je n'imagine pas la scène. Je sortis ma baguette, changeant ma robe et ma cape en un costume moldu. J'en avais déjà vu chez des personnes d'une certaine richesse quand j'étais passé par le Londres moldu. Je me dit que si déjà je devais passer pour un moldu, autant ne pas cacher ma richesse. « Descends, sinon nous n'allons pas aller bien loin.  » Dis je en gardant mon ton froid habituel, tout en rangeant ma baguette. J'étais prêt à changer mes vêtements en vêtements moldus, mais pas à les garder ainsi trop longtemps. Le plus court sera le mieux pour moi. Je ne suis pas du genre à apprécier de me faire passer pour les personnes que j'aime tuer, surtout qu'ils sont inutiles. J'attendis qu'elle soit descendu pour m'engager par cette trappe et me diriger lentement vers la sortie de cette chose. « Il nous faut trouver l'équivalent du Chemin de Traverse. Toi qui étais là, tu sais où il se trouve ? » Demandais je sans essayer de faire preuve de la moindre sympathie, ce n'était vraiment pas mon genre et je voulais au plus vite retrouver le monde sorcier, prendre un portoloin et arriver en France.
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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Mar 2 Juin 2015 - 20:30



Un voyage pas comme les autres




A en croire l'agacement qui se lisait chez mes deux nouveaux compagnons, le voyage n'allait pas être de tout repos. La barrière de la langue, comme l'avait souligné la célèbre joueuse de quidditch, ne serait pas un problème. Et cela avait sans doute été un des facteurs qui me rassuraient. Au moins on aurait pas besoin de faire les clowns pour se faire comprendre des habitants. Ce qui m'inquiétait le plus c'était de savoir si les deux personnes qui m'accompagnaient connaissaient un peu la ville ou si j'allais devoir jouer les guides. Parce qu’honnêtement l'idée ne me réjouissait pas trop vu la sympathie qui avait l'air de les inonder tous les deux. J'allais devoir me montrer prudent et jouer la carte du « vous ne me faites pas peur et d'ailleurs je peux être aussi froid que vous si je veux, nah ». Un « Alohomora » plus tard (celui-ci me surpris d'ailleurs, étant perdu dans mes pensées, je ne m'y attendais pas), et la star empruntait la trappe après nous avoir presque reproché nos tenues de sorciers. L'homme, qui avait l'allure d'un sang pur, tira une grimace avant de changer sa robe contre un très, voir trop chic costume, d'un coup de baguette. Personnellement je préférait la méthode classique : on attrape et on retire. Pas de magie, pas de risques. Je fourrai ma robe dans mon sac, réajustai mon polo et descendit la trappe à la suite des deux autres. J'avais à peine posé un pieds sur le sol que mes craintes se confirmaient. Aucun de mes deux compagnons ne connaissaient la ville et apparemment ils comptaient sur moi pour les faire rentrer. J'étais pas dans la merde.
Regardant l'homme dans les yeux je lui répondis calmement en essayant d'être légèrement froid. « Toi, as un prénom. Je m'appelle Léo. Et avant d'aller plus loin, je vous demanderai de donner les votre parce que je ne voyage pas avec vous si c'est pour qu'on s'appelle « toi » à chaque fois qu'on s'adresse à quelqu'un. » J'espérais avoir été clair. Après tout si mes conclusions étaient bonnes ils avaient besoin de moi pour arrivé en France.
« Je ne connais que le monde moldu de New York, désolé. Et j'espère que vous avez de l'argent parce que vous allez en avoir besoin pour le billet d'avion. Et une dernière chose, évitez de faire de la magie, on a un problème suffisamment gros à régler pas besoin d'en rajouter. » Je les regardais une dernière fois avant d’entamer la longue descente des escaliers. Me stoppant d'un coup, je me retournai. « Vous venez ? »




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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Ven 5 Juin 2015 - 22:25

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Au moins, ils étaient sur la même longueur d’onde que moi… aimable comme pas deux. Je songeais rapidement, vraiment rapidement que j’aurais pu faire l’effort, mais je m’empressais de reléguer le problème à plus tard, préférant maugréer en voyant la tenue qu’il avait adopté. « Beau doigt d’honneur à la discrétion… » Non seulement, il allait se faire remarquer, mais nous aussi, vu qu’on se baladait avec. Sans compter qu’on formait une troupe totalement hétéroclite. Entre moi et mes vieux jeans et sweats, le sang-pur qui portait un costume trois pièces et le dernier qui portait des vêtements convenables et relativement passe-partout. Je le regardais, pas vraiment surprise… personnellement, je n’avais pas tellement apprécié la façon qu’il avait eu de s’adresser à nous, non plus. Et puis bon, c’était effectivement la moindre des politesses que de se présenter. Elle songea vaguement à donner un faux nom, avant de se rappeler que ce n’était probablement pas bien malin dans la situation actuelle. « Evanna. Evanna Gold. » Je descendais à sa suite en silence.

Vu que nous étions totalement dans le noir, j’allumais ma baguette suffisamment pour voir, mais pas trop pour ne pas se faire repérer. Les marches n’étaient pas pratiques et je me concentrais pour ne pas glisser. En grande maladroite que je pouvais être, il valait mieux que je fasse attention. Finalement, la descente ne fut pas aussi longue que je l’avais pensé et la phrase de celui qui s’était présenté comme étant Léo me revient en tête. Je retenais un rire sonore et mauvais, pour me contenter d’un rictus agacé. « Je ne sais pas ce qui le pire… mon compte en banque moldu, ou celui à Gringotts. » Ah ça non, clairement, je n’avais pas un rond. Certainement pas pour me payer un billet d’avion, à moins d’en prendre un dans six mois. En toute honnêteté, je ne pouvais pas attendre six mois —quoique, mon “activité” professionnelle pouvait s'exécuter dans tous les pays du monde— et je ne pouvais pas non plus me permettre de devoir de l’argent à quelqu’un. Bref, on devait trouver le Ministère de la Magie Américain pour se faire rapatrier. En urgence de préférence.

En attendant, je balayais l’endroit où on était arrivé avec curiosité. Probablement le magasin de souvenir moldu de la Statue de la Liberté. Et soudain, l’évidence me sauta aux yeux. « Ce monument est connu dans le monde entier… même les sorciers le visitent, non ? Avec un peu chance, on devrait en croiser. » Je m’abstenais de préciser que la chance, à part peut-être au Quidditch, n’avait jamais été mon point fort. Ils n’avaient pas besoin de savoir ce genre de détails. Vu que Léo ne connaissait pas plus que nous le New York sorcier, on était de toute façon condamné à se lancer dans les tentatives désespérées. C’était mieux que ne rien faire après tout. Parce que sinon, il fallait pas compter sur moi. « Une idée de l’heure qu’il peut être ? » Je n’avais pas remarqué d’horloges et les montres dans la vitrine à quelques pas de moi indiquait toutes une heure différente, ce qui n’aidait pas des masses.


Dernière édition par Evanna Gold le Jeu 18 Juin 2015 - 22:07, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Dim 7 Juin 2015 - 21:06

The ones we leave behind, Evanna, Léo & Nathan
Le mec parla à nouveau et dit qu'il avait un nom, tant mieux pour lui, je n'en avais que faire. Il voulait quoi, qu'on se présente ou sinon on ne pourrait pas partir ensemble d'ici. Bon et bien, je devrais mes plier, me dis je. Il avait annoncé qu'il s'appelait Léo, quel prénom horrible, enfin je me retins de faire un commentaire. J'allais me montrer le plus silencieux possible et ainsi m'énerver en silence intérieurement et freiner mes envies de les tuer tous les deux s'ils se montraient trop inutiles. Surtout qu'on me soupçonnerait en Angleterre, le ministère étant au courant des identités des personnes qu'il assignait à chaque portoloin. Il nous parla ensuite du fait qu'il ne connaissait que le New York moldu, génial j'étais en plus obligé de me coltiner un sang-de-bourbe, c'était bien ma veine, moi un mangemort, forcé de passer du temps avec un sang indigne. Il parla aussi d'argent et d'un truc, avion, c'était encore un moyen de transport moldu, une chose que je refusais de prendre. Je voulais l'équivalent du chemin de traverse et Gringotts pour pouvoir prévenir du retard de mon arrivée en France par une erreur de portoloin faite par le ministère anglais. L'autre se présenta comme Evanna Gold, très bien. C'était retenu et je l'oublierais aussi rapidement que je l'avais appris. Je n'avais que faire de ces deux idiots, je voulais aller à Paris et prendre mon nouveau travail pour le mois à venir.

Elle dit qu'elle n'avait pas une mornille, très bien, au moins on serait deux à chercher le chemin de traverse New-Yorkais, l'autre n'avait qu'à prendre son truc moldu pour aller en France, mais il ne me ferait pas rentrer avec lui dans un magasin moldu, je ne fréquentais pas les sous-êtres, j'étais un sang-pur et un sorcier, je ne fréquentais que des sorciers et je tuais les faux sorciers, même si pour celui-là, je ne pourrais le faire immédiatement. Elle parla de la possibilité qu'il y ait des sorciers ici, dans ce monument qui était connu des deux mondes, même si moi je n'avais jamais désiré le découvrir. « Je me nomme Nathan Dolohov. » Déclarais je de mon ton froid et je décidais de poursuivre. « Il est hors de question que je voyage de façon moldu. Je dois absolument prévenir mon employeur en Angleterre que j'ai atterri ici et le directeur de Paris que je ne pourrais prendre mon poste dès demain puisque je suis bloqué ici. » Déclarais je au moins mes intentions étaient claires. Je voulais trouver les sorciers, revenir dans mon monde et trouver le moyen d'arriver en France au plus vite. Mes intentions étaient données alors que l'on descendit jusque dans les vrais endroits accessibles aux visites de la Statue de la Liberté. Quel malheur c'était pour moi de me retrouver habiller en moldus et entouré de cette vermine. Je devais prendre sur moi, je ne devais pas faire de massacre, mais ça allait être bien difficile et j'allais sûrement m'adonner à quelques meurtres de vermines une fois que j'en aurais l'occasion. Il ne manquait plus que des ordres du Lord que je ne pourrais mener à bien et j'aurais la cerise sur le gâteau du point de vue des problèmes. « Il me semble que nous sommes deux contre un pour ce qui est de retrouver notre monde, alors tu nous suis Léo ou nos chemins se séparent une fois que nous serons descendu d'ici? » M'enquis je en espérant sincèrement qu'il veuille partir de son côté et rester avec la vermine, retrouver la place qu'il n'aurait jamais dû quitter à mon sens.
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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Ven 12 Juin 2015 - 14:09



Un voyage pas comme les autres




Evana Gold et Nathan Dolohov, c'était les noms de mes deux compagnons de voyages. Au moins ça c'était fait. On s'était retrouvé dans un magasin de souvenirs et si j'en croyais ce que disais Evana, elle n'avait pas de sous et comptait donc trouver le monde sorcier New-yorkais. L'idée des sorciers dans un lieu touristique était pas mal mais c'était aussi un super moyen de passer pour des fous. Trois personnes, avec trois styles complètements différents en train de demander aux gens s'ils sont des sorciers ? Bonjour, on cherche des sorciers, vous n'en auriez pas vu par hazard ? Et puis quoi encore ? Ce qu'il fallait c'était trouver un lieu que les moldus n'approchaient pas. Au moins on serait sûr de trouver des sorciers. Je crois que le pire c'était que Nathan, qui par son refus de voyager de façon moldu,avait confirmer être un sang-pur. Et vu la lueur d'espoir qu'il y avait dans ces yeux lorsqu'il me demanda si nos chemins se séparaient ici, il devait penser que j’étais un « sang-de-bourbe » comme disait ces imbéciles, narcissiques et racistes de sang-pur. Au point où j'en était, il pouvait bien penser ce qu'il voulait. Je soupirai. « Si ça me permet d'éviter de prendre l'avion je viens avec vous. » répondis-je avec une petit grimace. L'avion était la seule solution rapide que j'avais trouvé sur le coup, mais ne pas le prendre m'arrangeait grandement. Je n'étais pas très à l'aise dans les airs, et c'était encore pire vu que le transport en question ne fonctionnait pas avec de la magie. Je ne pouvais avoir aucun contrôle dessus.
« Vu que la boutique est fermée, je dirai qu'il est environ 7h. Pour ce qui est de trouver des sorciers, pourquoi ne pas chercher un lieu dont les moldus ne s'approchent pas ? Comme ça on est sûr de pas faire de gaffe. » Je les regardais, attendant leur approbation (et oui mais vu que je suis quelqu'un de plutôt pacifique à la base, je préférais montrer que je vais dans leur sens). « En attendant il faut qu'on sorte de cet endroit avant que quelqu'un arrive et qu'on ai des problèmes ». Un petit « Alohomora » sur la serrure de la porte et on se retrouvait dehors, isolé sur une île situé environ à 800m de la ville.




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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Jeu 18 Juin 2015 - 22:06

The ones we leave behind
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Dolohov. Prononcé avec tant de fierté et de morve. Ouaip. C’était définitivement un sang-pur. Je lui jetais un regard dédaigneux, estimant combien de temps je pouvais tenir avec ce type avant de me jeter sur lui pour lui casser un ou deux os. Probablement pas longtemps. Et s’il décidait de venir de me coller les basques, je n’hésiterais pas à profiter du moindre instant d’hésitation pour le lâcher là. Je me débrouillais mieux toute seule. Point. J’étais peut-être prête à faire une exception, à condition qu’on me tape pas de trop sur la citrouille. Et là, c’est sacrément mal barré. Je retenais un juron qui m’aurait probablement valu un regard choqué, me contentant de hausser les épaules. Je n’avais jamais pris l’avion et ça ne me tentait franchement pas plus que ça… en dehors du prix exorbitants et de la durée des voyages. A part ça, il fallait bien avouer que les moldus savaient se débrouiller sans magie. Quoique… le Dolohov ne l’admettrait probablement jamais. Je soufflais pas très discrètement et décidait de prendre les devants.

La porte ouverte avec un rapide « Alohomora » de la part de celui qui ne nous avait pas fait part de son nom de famille, je me glissais rapidement dehors. On avait beau être tôt le matin, l’air était déjà très chaud et mes cheveux se raccourcirent brusquement, me dégageant la nuque. Beaucoup mieux ! Vu le plan qui était à deux mètres devant nous, on faisait face aux quais où les nombreux bateaux devaient déposer les visiteurs. « On devrait pouvoir se planquer là-bas. » Je fis un signe de tête en arrière. « Quand il commencera à y avoir du monde, on pourra se mélanger à la foule et regagner la terre ferme. » Sans vraiment regarder s’ils me suivaient, je fis volte face, allant dans la direction indiquée, trouvant un coin confortable. Quelque chose qui devait être une table de picnic sur laquelle je m’assis, en travers et pas sur le banc, pas vraiment disposée à répondre aux questions mais décidée à ne pas me montrer trop mal aimable non plus.

Au final, on attendit peut-être un peu moins d’une heure avant que le parc ne commence à être rempli de visiteurs. Je me levais avec la rapidité de Peeves préparant un mauvais coup, signifiant ainsi à mes compagnons désignés qu’il était probablement le moment d’y aller. Juste avant que l’île ne devienne blindée de monde, mais juste assez envahie pour nous permettre de nous fondre dans la masse. Ce qui, au vu de nos tenues respectives, n’était pas franchement gagné d’avance. « Les bateaux sont par là. » Je levais le bras en direction de l’autre extrémité de l’île, là d’où les gens semblaient venir. « On a juste à espérer qu’ils nous demandent pas de tickets ou autre. » Parce que là, on allait devoir être convaincant pour expliquer comment on l’avait tous les trois perdus en arrivant. J’étais la reine du mensonge quand je m’en donnais la peine, mais même moi, j’avais des limites. Par chance, l’entrée des bateaux ne semblait pas vraiment être contrôlées.
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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Jeu 2 Juil 2015 - 22:17



Un voyage pas comme les autres




Suivant Evanna, on se planqua au niveau d'une table de pique-nique. On attendait que le lieux commence à être visité pour pouvoir se fondre dans la foule. On avait du attendre environ une heure avant de pouvoir quitter l'île. Et jusqu'à ce qu'on arrive sur le continent, le vrai, c'est Evanna qui « donnait les ordres » en quelque sorte. On avait pris le bateau sans problème sauf que maintenant on se retrouvait certes à New-York mais on n'était pas beaucoup plus avancé pour autant. Aucun de nous ne savait où chercher. « Il faudrait trouver une banque ou un bureau de change. Parce que c'est bien de vouloir s'en sortir mais sans la monnaie d'ici on ne va pas aller bien loin. » J'ai commencé à marcher dans les rue de la ville. Arrivé devant une banque je laissais les deux autres devant et ressorti quelques minutes plus tard avec 500 dollars en poche. Nous allions en avoir besoin pour nous déplacer et pour survivre dans cette ville énorme. Rejoignant les autres, je les regarde. «Bien alors maintenant qu'on a de l'argent on prend un taxi jusqu'au World trade center. Ça nous fera un point de départ pour commencer à chercher et puisque c'est le centre économique de la ville on trouvera peut être un passage vers le monde sorcier. » Sans leur laissez le temps de répondre, j'arrêtai le premier taxi possible. « Et ça ne sert à rien de refusez parce que c'est moldu, c'est le seul moyen de se déplacer dans cette ville. » Je montais dans le taxi. Leur avis m'importait peu en fait. Surtout que Nathan avait sûrement envie de me tuer et qu'Evanna n'était pas la partenaire de voyage idéale. Alors que je sois avec eux ou pas m'étais égal. J'avais l'argent pour rentrer et je connaissais le monde moldu par cœur. C'était uniquement par gentillesse que je restais avec eux, même s'ils en avaient rien à foutre.




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MessageSujet: Re: The ones we leave behind. (loterie)   The ones we leave behind. (loterie) Icon_minitime1Dim 2 Aoû 2015 - 14:51

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Maintenant qu’on était plus enfermé sur une île, fallait encore qu’on trouve le New-York sorcier, ce qui était loin d’être simple. Vu que je n’avais pas d’argent et que Léo venait d’utiliser un distributeur d’argent moldu pour nous permettre de nous déplacer, je me permettais pas la moindre réflexion et montait dans le taxi. Quoiqu’il était surprenant que Dolohov ne bronche pas. Je ne cherchais pas midi à quatorze heures, d’autant que l’idée de Léo n’était pas si mauvaise. Combien pouvait-il être difficile de dénicher des sorciers dans le quartier le plus fréquenté de la ville ? Plus nous nous enfoncions dans la ville, plus les bâtiments étaient hauts. Même si intérieurement, j’étais dans le même état qu’un enfant découvrant un autre endroit, je restais de marbre en regardant par la fenêtre.

Ce n’était pas le moment de passer pour une paumée, d’autant que mon compagnon de route ne manqueraient pas de se moquer ouvertement de moi. Mes cheveux eurent le bon goût de devenir intégralement blond, à la plus grand surprise du chauffeur, persuadé d’avoir embarqué une brune. Le trajet fut incroyablement long à en juger par la montre pendue au rétroviseur et par le temps infini que nous passâmes arrêtés dans les bouchons. Les moldus étaient intelligents, mais n’avaient pas résolu tout les problèmes. Pas plus que les sorciers en tout cas. Je descendais rapidement de la voiture, laissant Léo payer, pour regarder ce qui nous entourait. « J’imagine que nous allons par là. » Je désignais les deux plus grands buildings du quartier et sans vraiment attendre de réponses, me dirigeait dans leur direction.

Je scrutais les gens autour de nous, essayant de repérer un élément qui n’avait pas sa place dans ce monde moldu. A Londres, les sorciers savaient se faire discret, pour autant, ils n’étaient pas si dur de les identifier. Dans ce quartier de New-York, il y avait, au premier coup d’oeil, des hommes d’affaires, des secrétaires et des touristes. Il y avait peu de chance qu’on trouve des sorciers parmi les hommes d’affaires et les secrétaires. Je me tournais donc vers les touristes. J’étais particulièrement ignorante de la mode, tant londonienne que new-yorkaise, c’était donc pas gagné.
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